RENCONTRE AVEC UN CHIRURGIEN PARISIEN - LE DOCTEUR JACQUES OHANA
10 h du matin, un rendez-vous entre deux boutiques de luxe, quelques étages plus haut la clinique du Docteur Jacques Ohana.
Une décoration sobre, mais presque sophistiquée ...
Je profite de l'attente autour d'un thé vert pour réfléchir... Un sentiment qui nous anime, celui d'être incompris, de ne pas être regardé de la bonne manière, que personne ne saura saisir toutes les subtilités qui nous constituent.
C'est une idée un peu adolescente, un peu romantique, difficile à gérer, mais terriblement motivante. Et je me dis à ce moment précis que le travail d'un chirurgien esthétique serait celui d'un homme qui a le devoir de nous réconforter avec notre "moi", cette profondeur qui se trouve au-delà du simple "soi" comme le disais si bien Jung.
La réflexion non achevée, le chirurgien me reçoit. Enfin, je pénètre dans le bureau, le lieu central de tout cet engrenage, presque la pièce maîtresse d'un musée ou les tableaux sont devenus des femmes, les sculptures des hommes, et le chirurgien un chef d'orchestre, ou plutôt un Artiste...
Vu le parcours du médecin : ancien interne des hôpitaux de Paris, il est chef de clinique et a été attaché à l’hôpital Tenon en Chirurgie Réparatrice Générale et Reconstructrice du cancer du sein.
Il a obtenu la Médaille d’Argent en 1982 pour sa thèse pour le Doctorat en Médecine. Après une formation complète en chirurgie générale, chirurgie digestive, orthopédique et maxillo-faciale, le Docteur a été l’un des premiers praticiens en France à s’orienter vers la spécialité de Chirurgie Plastique et Esthétique.
Auprès des Maitres les plus réputés, aussi bien dans les milieux hospitaliers qu’en clinique privée, le Dr Jacques Ohana a bénéficié d’une formation et d’un enseignement continu auprès de praticiens renommés qui ont remarqué son sens créatif, sa sensibilité artistique et son esprit d’initiative : Le Pr Vilain (Boucicaut), Le Pr Dufourmentel, (Saint Louis), le Pr Tessier (Foch), Le Pr Pierre Banzet et, plus particulièrement, Le Pr Jean-Sauveur Elbaz, fondateur du Collège et le Pr Yves-Gérard Illouz, inventeur de la liposuccion.
Très tôt, il a créé l’un des premiers office-surgery Avenue Montaigne à Paris, où il a exercé, avant de fonder la première clinique en France, exclusivement dédiée à la Chirurgie Esthétique, La Clinique Elysée Montaigne où opéraient les plus renommés des Plasticiens Français.
Il me raconta son chemin professionnel devant une fenêtre qui donnait sur le Plaza Athénée ; je me suis dit que le décor doit aussi servir pour l'inspiration...
Pour reprendre ma réflexion sur l'équilibre que nous avons avec notre enveloppe corporelle, mais aussi celui du désir de se réhabiliter en permanence dans le regard de l'autre, de chercher à lui faire comprendre la complexité de notre âme est à l'origine des créations les plus stimulantes....
Au-delà du patient et de l'acte médical ou chirurgical, l'équation identitaire se complexifie à mesure qu'on cherche à la résoudre. Par exemple, le photographe utilise la photographie pour se donner une image de lui-même. Une filiation, une insatisfaction, une relation au monde. La photo comme abri de leurs nuances, à la fois intime et exposée. Voilà le discours que le Dr Ohana reçoit des patients : ce désir impossible de trouver dans leur regard, l'image qu'ils cherchent d'eux-mêmes....
Il me répond, bien-sûr que non... Le chirurgien est celui qui comprend le corps, mais aussi l'âme.
J'aime l'idée, entre le corps et l'âme... Retrouver, pour le patient une image perdue ou plutôt une image désirée...
Ce n'est pas évident pour celui qui opère de prendre position, étant donné que l'obsession du patient peut vite changer...
L'obsession... Cette profondeur qui habite chacun de nous, cette raison pour que nos passions existent et animent notre destin. Tel un chirurgien qui n'est rien d'autre qu'un artiste, qui réfléchit à l'histoire qu'il pourrait nous raconter et qui finit par nous obséder !
Il enregistre, depuis une trentaine d'années, le passage du temps sur les femmes et les hommes ... Vertigineux ! Finalement, la mort ne serait-ce pas qu'une option ?
Vu le parcours du médecin : ancien interne des hôpitaux de Paris, il est chef de clinique et a été attaché à l’hôpital Tenon en Chirurgie Réparatrice Générale et Reconstructrice du cancer du sein.
Il a obtenu la Médaille d’Argent en 1982 pour sa thèse pour le Doctorat en Médecine. Après une formation complète en chirurgie générale, chirurgie digestive, orthopédique et maxillo-faciale, le Docteur a été l’un des premiers praticiens en France à s’orienter vers la spécialité de Chirurgie Plastique et Esthétique.
Auprès des Maitres les plus réputés, aussi bien dans les milieux hospitaliers qu’en clinique privée, le Dr Jacques Ohana a bénéficié d’une formation et d’un enseignement continu auprès de praticiens renommés qui ont remarqué son sens créatif, sa sensibilité artistique et son esprit d’initiative : Le Pr Vilain (Boucicaut), Le Pr Dufourmentel, (Saint Louis), le Pr Tessier (Foch), Le Pr Pierre Banzet et, plus particulièrement, Le Pr Jean-Sauveur Elbaz, fondateur du Collège et le Pr Yves-Gérard Illouz, inventeur de la liposuccion.
Très tôt, il a créé l’un des premiers office-surgery Avenue Montaigne à Paris, où il a exercé, avant de fonder la première clinique en France, exclusivement dédiée à la Chirurgie Esthétique, La Clinique Elysée Montaigne où opéraient les plus renommés des Plasticiens Français.
Il me raconta son chemin professionnel devant une fenêtre qui donnait sur le Plaza Athénée ; je me suis dit que le décor doit aussi servir pour l'inspiration...
Pour reprendre ma réflexion sur l'équilibre que nous avons avec notre enveloppe corporelle, mais aussi celui du désir de se réhabiliter en permanence dans le regard de l'autre, de chercher à lui faire comprendre la complexité de notre âme est à l'origine des créations les plus stimulantes....
Au-delà du patient et de l'acte médical ou chirurgical, l'équation identitaire se complexifie à mesure qu'on cherche à la résoudre. Par exemple, le photographe utilise la photographie pour se donner une image de lui-même. Une filiation, une insatisfaction, une relation au monde. La photo comme abri de leurs nuances, à la fois intime et exposée. Voilà le discours que le Dr Ohana reçoit des patients : ce désir impossible de trouver dans leur regard, l'image qu'ils cherchent d'eux-mêmes....
Je lui pose cette question : « Un chirurgien esthétique peut-il être sans passion pour le corps ? »
Il me répond, bien-sûr que non... Le chirurgien est celui qui comprend le corps, mais aussi l'âme.
J'aime l'idée, entre le corps et l'âme... Retrouver, pour le patient une image perdue ou plutôt une image désirée...
Ce n'est pas évident pour celui qui opère de prendre position, étant donné que l'obsession du patient peut vite changer...
L'obsession... Cette profondeur qui habite chacun de nous, cette raison pour que nos passions existent et animent notre destin. Tel un chirurgien qui n'est rien d'autre qu'un artiste, qui réfléchit à l'histoire qu'il pourrait nous raconter et qui finit par nous obséder !
Il enregistre, depuis une trentaine d'années, le passage du temps sur les femmes et les hommes ... Vertigineux ! Finalement, la mort ne serait-ce pas qu'une option ?
Thomas Josse
Contact communication : aesthetics75@gmail.com
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