IMMERSION AU CONGRÈS MÉDICO-CHIRURGICAL AESTHETICA






L’esthétique est un mot à sens multiple, poser la question si « une personne est belle » paraît futile, baignée de rivages invisibles. Mais il y a, dans la plus infime ponctuation de cette phrase, une immensité sémantique insondée. La beauté se glisse à l’intérieur d’un corps, et gagne sa face extérieure comme un territoire en conquête. Elle se doit de faire sens et dépasser la stricte joliesse d’une enfilade de lettres.

C’est peut être pour répondre à cette définition du beau que le rassemblement Aesthetica s’est tenu le 16 juin.

Le comité directeur Dr Nicolas Georgieu, Dr Jean-François Pénide, le comité scientifique composé du Dr Véronique Gassia, Dr Talia Marival, Dr Vincent Casoli, Dr Olivier Galatoire, le tout orchestré avec perception par Sonia Pascual ont choisi un lieu où le temps n’a plus prise, la fantaisie fastueuse de l’Hôtel du Palais pour présenter cette édition.



Au fil de la journée, Aesthetica a offert au médico-chirurgico esthétique, un cadre sur-mesure, imaginé à l’époque napoléonienne pour Eugénie.

Qu’aurait-il dit lui qui fut très sceptique envers la médecin mitigé quant à l’idée qu’elle puisse être réellement bénéfique et railleur quand à ceux qui la pratique. Pour lui « notre corps est une machine à suivre, il est organisé pour cela, c’est sa nature : laissez-y la vie à son aise »

Ce n’est qu’à peine 100 ans plus tard, que nous avons changé de pragmatisme envers ce corps, notre corps intégrant l’âme et évidant l’énergie qui s’y dégage…


C’est par cette porte ( tambour ) que les invités étaient convoqués. Invités à se perdre, à rêver dans un programme intégrant une large partie « philosophique », après avoir parlé de ce que recherche la patiente avec un lifting en 2017, la place du vampire lift, des injectables pour un traitement durable, d’un débat autour des fils pour savoir s’il fallait lifter ou suspendre…

Il en manque de cette philosophie parfois, et ça fait du bien de voir que l’esthétique en conscience a été abordé, ainsi que la quête de la perfection, le mieux est-il l’ennemi du bien ?
Et le bonheur dans tout ça ? Il a été abordé autour d’une table ronde, créant l’excitation enfantine des invités.

Pour éviter le burn-out qui a été abordé avec une intervention de Lucie Frapsauce, nous avons suivi un esprit de liberté pour rejoindre la soirée Aesthetica…




La nuit tombe en jaune et bleu sur Biarritz. La voici, baignée de soleil, drapée du ciel, cette nuit qui, le temps d’une soirée, ressuscite le jour et sa gaieté. Sous les lumières colorées, des praticiens et industriels défilent, les matières dansent avec la lumière, le souffle fin des chemises blanches volent au vent.

Cette soirée faisait raisonner des hommes et des femmes loin de l’évanescence, des héros discrets. Biarritz la surdouée refusait de s’endormir ( sur ses lauriers ).


Des Mondiaux de surf en mai, au congrès de médico-esthétique qui s’est tenu en juin, Biarritz a réussie son tour de bras, en sortant de son chapeau magique un hymne à l’antiformatage, célébrant la différence !

La vie défile en majesté, sensuelle et gaie. Biarritz résonne encore son aura, son charisme, sa prestance , ce lifestyle que nous devons adopter,sans lassitude mais avec longitude, à perte de mer, à perte de vue, jusqu’à la « Barre ». 


Thomas Josse 

Poursuivre l'aventure : http://www.aesthetica-congres.fr

Prendre du bon temps : http://www.hotel-du-palais.com



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